‘Toutes les personnes inscrites sont sans domicile stable, et relèvent directement des lois DALO, ALUR et ELAN.
Certaines peuvent bénéficier du RSA et de la Complémentaire Santé.
Mais certaines personnes travaillent et n’arrivent pas à obtenir de logement ou d’hébergement, compte tenu de la situation du logement à Paris.
Ces personnes vivent dans la rue ou les squares, les centres d’hébergement d‘urgence (Samu social par le 115, Secours Catholique, Emmaüs, Missionnaires de la charité, Casp, Mie de Pain, la péniche, la Boulangerie…), l’hébergement provisoire par des connaissances ou dans des foyers (en sous-locations dans une même chambre ou des nuits dans les couloirs). Ils trouvent aussi des solutions dans des églises ou des mosquées, des voitures, des parkings, des sous-sols, des escaliers, des squats, ou en foyer ou logement (et sont victimes des marchands de sommeil) . Plusieurs vivent depuis des années au bois de Boulogne et de Vincennes.